L’éducation des enfants est un sujet très important. Pour assurer la sécurité et garantir un cadre d’étude adéquat pour ces derniers, il est nécessaire que des dispositions soient prises. L’une d’entre elles est la température des salles de classe où doivent se dérouler les cours. Malheureusement, il est remarqué que ce paramètre fait polémique.
Quel est l’évènement qui suscite cette polémique ?
Cette polémique a commencé à la suite d’une situation qui s’observe dans certaines écoles. En effet, elle est devenue générale à la suite d’un évènement qui s’est déroulé les dates du 26 et du 27 septembre. La commune de Saint-Dizier possède une école maternelle et primaire nommée Paul-Claudel. Lorsque les parents sont venus déposer leurs enfants, ils ont constaté que la température présente dans les classes était trop basse.
Il faisait en réalité 13,5 °C. Cela était inadmissible surtout lorsque l’on sait que dans le règlement, les classes devraient être préchauffées avant l’arrivée des enfants. Mais force est de constater aussi que certaines d’entre elles ne disposaient même pas de cet équipement primordial. Ainsi donc, le froid qui y régnait était aussi préjudiciable pour les enfants et pour les enseignants.
Une situation insoutenable
Face à cette situation, des parents se sont emportés et crient au scandale. En effet, il est incompréhensible qu’une telle situation se présente. Surtout lorsque le directeur de l’école affirme avoir contacté la mairie mainte fois pour exposer le problème. Il est tout à fait inadmissible que les enfants soient obligés d’être vêtus de manteaux afin de pouvoir suivre les classes. Il en est de même pour les maîtres.
Malgré le fait que la direction ait promis de trouver une solution, rien n’a été fait le lendemain. Les parents exigent alors que les autorités se prononcent sur le sujet. Des commentaires ont été publiés sur certains réseaux sociaux.
Quelles sont les dispositions prévues par la mairie
Il est important de noter que 15 °C est une température très basse pour une classe d’école. Mais selon les règles en vigueur, il est interdit aux écoles de mettre en marche les chauffages avant la date prédéfinie qui est le 15 octobre. Face à cette situation, les enseignants et les syndicats se disent être indignés. Ils dénoncent aussi l’état précaire du système de chauffage présent dans certains établissements.
Dans le but de trouver une solution à ce problème, la mairie a décidé de partager des chauffages d’appoint à un total de cinq écoles. Il n’est cependant pas question que les chauffages pré-installés soient mis en marche. En effet, selon elle, ces équipements sont très imposants et nécessitent de grands moyens en matière de finance et d’énergie pour fonctionner. Il n’est pas envisageable qu’ils soient utilisés pour n’importe quelle situation.